lundi 13 septembre 2010

Paul-Louis nous écrit ...


Monsieur et φίλων ἄριστε,


Je ne voulais point vous écrire ; je voulais vous aller voir. Je me promettais de le faire après que j’eus consulté … comment dites-vous ? le site sur le net ? que vous me consacrez et notamment la page d’ouverture. C’est fait. Les gens qui ne réfléchissent point, à la tête desquels vous pouvez me mettre, trouvent encore dans votre époque de bons moments. Rien, je vous assure, ne pouvait me faire plus de plaisir que votre site hormis peut-être... nous verrons cela une autre fois. D’emblée, je vous dirai cette chose indiscutable : à la différence de bien des méchants bouquins qui prétendent parler de moi, je n’ai pas rencontré de niaiseries non plus que de malveillances sur ce site. La chose est si rare qu’il fallait que je vous la disse.